Sachant que les invasions ne sont que le dernier recours, d’après le témoignage (entre autres) de l’ex assassin financier John Perkins. Si on essayait de compter les "chacaleries" (assassinats de chefs d’État), les guerres par procuration, et les corruptions, on comprendra aisément pourquoi tout vaut mieux que l’hégémonie états-unienne.