Tenez, voilà Desproges en train de rigoler avec... Jean Marie Le Pen à l’époque du tribunal des flagrants délires.
Le sketch de Luis Rego toujours face à Le Pen est encore plus drôle, l’histoire d’un nazi chez un tatoueur juif, impossible à faire aujourd’hui dans l’ambiance d’inquisition qui règne.
Alors le bon mot de Desproges que quelques garants ou journalistes de la bonne pensance ressortent régulièrement, sert d’excuse aujourd’hui pour censurer des gens ; tandis que si les gens que l’on censure ont tort, et bien on leur prouve. S’ils n’ont pas tort, c’est qu’ils ont éventuellement, raison et qu’ils doivent pouvoir exposer leurs arguments et là, pas besoin éventuellement de loi Fabius-Gayssot 