Nous devons oser nous dire qu’à un endroit de la chaine humaine, il y a quelqu’un d’humain qui tue la chaire animale que nous mangeons sous forme de viande, et c’est là que ça coince forcément...ce maillon ne peut pas être humain ma bonne dame, puisqu’il tue ! Et ainsi, nous nous lavons les mains de toute responsabilité et nous libérons de toute complicité avec cette shoah animale quotidienne de trois milliards de morts. Et pourtant, nous perpétuons...