C’est la voie de la Raison qui l’emportera : lorsque tous autant que nous sommes, nous voudrons bien admettre que les déplacements de masse des populations sont une catastrophe pour les uns et les autres (violence du déracinement, violence du changement de mode de vie, de mentalité), les politiciens qui organisent cette misère seront dans l’obligation d’admettre leur faute.

Certains sont en train de montrer la voie pour ceux qui ne se sentent pas leur place en France ou en Occident.

Les échanges/transferts d’individus ne doivent concerner qu’un nombre marginal de personnes. Cela ira de pair également avec un développement économique partagé équitablement, au nord comme au sud.
Pour le moment, un seul ennemi se dresse contre le bon sens humaniste : cette sale mentalité mondialiste -partagé également et bien entendu à gauche-, et qui à terme privilégie l’économie, l’argent, les bénéfices au détriment de tous les dommages humains que cela occasionne.