joelim joelim 5 janvier 2014 15:42

Tiens, l’ancien proc Bilger a pondu un article. Le moins inintéressant est l’analyse d’un commentateur : 


Il est dommage que le problème ne soit pas examiné de manière juridique :

Nous nous trouvons en effet face au problème de savoir si le regret que les chambres à gaz n’aient pas assez fonctionné pour nous épargner Patrick Cohen relève de l’humour de mauvais gout style "Durafour crématoire", ou de l’appel à la réanimation des fours.

Dans un cas, à moins que le mauvais goût soit un délit, ou que cela ait été dit devant des juifs ne s’attendant pas à se trouver face à une atteinte à la mémoire de leurs parents, il n’y a pas de faute sur le plan pénal.
Dans l’autre, il y a incitation à génocide.

Mais sous ce problème se trouve celui de savoir et décider de ce qui est de l’humour, ou de la politique sous couvert d’humour.
L’humour repose sur l’incongruité, et de sa surprise naît le rire.

Or, dans la manière de regretter qu’un sort ne soit pas fait à P. Cohen, la violence trouve un sens non incongru du fait que ce journaliste est exécrable pour incarner ouvertement l’emprise du lobby juif sur le service public de l’information.
S’il s’agissait en effet de Claire Chazal ou autre présentateur neutre pour ne pas dire insignifiant, il s’agirait indiscutablement d’humour certes de très mauvais goût, mais d’humour.

Et c’est là que ces beaux messieurs de la politique-justice se trouvent face à leur inavouable lâcheté devant le lobby juif au prétexte qu’on doit le laisser faire face à la crainte que "cela se renouvelle".

Nous nous retrouverions ainsi sur le chemin des années 30, non qu’il ait eu en France un parti ayant voulu exterminer les juifs, mais qui soit le reflet de l’état d’esprit d’indifférence à leur sort.

Aujourd’hui, du fait d’un sionisme criminel, il n’est pas sur que la majorité des français se soucieraient en leur for intérieur, du sort des juifs après une reconquête d’Israël par les Palestiniens. Ainsi que l’avait dénoncé Yehudi Menuhin et qui lui avait valu - je crois m’en souvenir - d’être déchu de la nationalité Israélienne, les juifs doivent se demander dans quelle mesure ils ne récoltent pas sans cesse ce qu’ils sèment.

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