Il y a 400 ans déjà, Ronsard – qui serait sans doute aujourd’hui poursuivi devant les tribunaux par Tubiana-Sopo – écrivait ces quelques mots :
France de ton malheur tu es cause en partie,
Je t’en ai par mes vers mille fois avertie.
Tu es marâtre aux tiens, et mère aux étrangers
Qui se moquent de toi quand tu es au danger,
Car la plus grande part des étrangers obtiennent
Les biens qui à tes fils justement appartiennent