Bah oui, il faut se réveiller, Eric Brunet.
Si, si, on entre complètement dans un état policier, sans bruit de bottes, très discrètement. Et les journalistes font de bons auxiliaires de cette police d’Etat en interdisant de penser hors des sentiers balisés, avec leurs fausses évidences et leurs refrains de perroquets.