Encore et toujours sa paranoïa des blocs continentaux qui contribuent tous et sans exception à la destruction des nations et l’avènement d’un gouvernement mondial. L’OTSC, l’OCS et l’UNASUR ne nient pas la nation, contrairement à l’UE et l’UNA. Il n’y a pas d’aliénation financière, économique, et surtout, pas d’aliénation sociétale. Ce sont des unions organisés pour améliorer l’efficacité de ces zones respectives.
 
Poutine entouré de juifs, il faudrait qu’il donne des noms parce que c’est loin d’être évident. Moi je vois qu’il a surtout beaucoup d’ennemis juifs (Berezovski, Khodorkovski, Kasparov, pour ne citer que les plus connus). Je ne sais pas si Hillard a déjà vu son discours de 2007 à Munich mais il devrait. Poutine a les faveurs de l’église orthodoxe, qui est beaucoup moins infiltrée que l’église catholique, n’en déplaise au fervent croyant qu’est Hillard, et entre autres du patriarche Cyrille. Il a fait interdire la propagande contre le mariage gay, redressé l’économie du pays quand l’Europe et les États-Unis prenaient le chemin inverse, viré l’escroc de la Banque centrale russe du début des années 2000 et qui adoptaient des politiques monétaires contraires à l’intérêt du pays.
 
Un autre signe qui ne trompe pas, c’est que c’est quand Poutine est arrivé au pouvoir que les États-Unis ont repris leur idée de bouclier anti-missile hégémonique afin de neutraliser le potentiel nucléaire russe, ce qui a complètement échoué puisque les Russes ont mis au point le Rubej, capable de percer n’importe quel bouclier antimissile actuel ou futur. Il a résolu les problèmes frontaliers qui existaient entre la Russie et la Chine, a accru leur coopération économique et militaire. Interdit la publicité pour l’alcool et le droit de fumer en public, ce qui devrait, vu les habitudes des Russes, augmenter la durée de vie d’à peu près 10 ans.
 
Bref, on ne voit pas ce qu’il a fait pour le mondialisme à part la création de l’OTSC, qui n’a pas du tout la même portée que l’UE (pas de Parlement, de subordination financière ou économique des pays à une quelconque autorité), seule chose que retient Hillard, c’est dommage.