Prochaine étape en Suède : ne pas différencier l’éducation du chien et celle de l’enfant. Comme ça, le chiot pourra choisir plus tard d’être humain ou canin, et pareil pour l’enfant qui pourra éventuellement choisir d’être un chien et non un humain, sans subir aucune influence oppressante de la part des parents. C’est vrai, de quel droit décider à leur place ?