Il est le manifeste que le vénérable du Grand-Orient (= un curé de l’église maçonnique) ne parvient pas à déployer sa philosophie sans se référer au christianisme, en s’y posant systématiquement en contradiction.
Par conséquent, le débat, loin de répondre à la question posée, stagne dans une sorte de guerre de religion feutrée.
En particulier, il n’y a pas la moindre définition claire de ce qu’est la morale ou la loi, ce qui fait qu’il est impossible de comprendre précisément de quoi ils parlent.