La politique est devenue, par la force des choses, par évolution temporelle, par évolution des moeurs, économiques ou sexuelles, par la loi de la surenchère, faire plus haut, plus fort que la génération précédente, ce qui est valable pour la société dans son ensemble, le monde politique n’y échappe pas, la politique donc, est devenue un sport. On ne joue plus pour un intérêt général, mais pour son équipe, son camp, les termes sont d’ailleurs les mêmes que ce soit pour le foot que pour la politique, dans la bouche des journalistes. Tour à tour arbitres, juges de touche et commentateurs sportivos-politos-rigolos, ils nous décrivent l’activité politique comme on commente un match.
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Donc on assiste à une clique qui s’agite de plus en plus depuis 30 ans, au gouvernement dont le métier c’est d’abord de jouer perso, puis pour son équipe, sans passer par la case prison, qui s’enrichit, se hisse au dessus des lois, devient une hyper classe, sans plus aucun point commun avec le peuple, qu’elle est censée représenter, défendre, se battre pour, puisqu’elle est élue pour, dans des élections bidons, jouées à l’avance puisque verrouillées, gagnées avec du vent, des promesses et des mensonges, pourvu que dans leur petite course, le cheval pour lequel roule l’équipe sorte, afin de bénéficier d’encore plus de passes droits, plus de privilèges, et ainsi d’amasser encore plus de pognon, au détriment du peuple qu’elle ne voit plus que par petite lucarne interposée.
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Le plus lamentable là dedans, on peut se poser la question, qui, de l’équipe ou des supporters est le ou la plus minable. J’ai ma petite idée là dessus.
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Aux prochaines votations, favorisez l’abstention. Pour ne pas jouer à un jeu, de dupes de surcroît, c’est facile, il suffit de ne pas y jouer. Le jeu s’arrêtera peut être, faute de joueurs... 
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Allumez le Game Over !