Boisseau 4 mars 2013 18:31

Ouais cette histoire c’est clairement du foutage de gueule.

 

Où comment le conseil constitutionnel laisser filer les gros en délit (en 1995 de graves irrégularités ont entaché le financement de la candidature d’Édouard Balladur à la présidentielle, dont Nicolas Sarkozy était alors le porte-parole), mais ce conseil se donne une légitimité en tapant sur un petit candidat qui ne rentre pas dans le rang.

 

Président du conseil constitutionnel de l’époque, Roland Dumas a même dit il « a été maladroit alors que les autres ont été adroits ». C’est beau la justice en France.


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