Je continue mon analyse : Les grosses erreurs tactiques de son speech :
- on s’en branle qu’il parle japonais et anglais
- ses voyages d’agrément ne nous intéressent pas
- ne pas parler de ses échecs ! On ne dit jamais qu’on s’est fait virer ! un loser hasbeen ça ne fait bander personne.
- arrêter de parler du conseil national de la résistance. Ça renvoie une image ringarde et terriblement rétrograde (même si sur le fond l’image est bonne).
- trop long et pas assez bien structuré !
Non vraiment il manque complétement de sens politique. On voit qu’il vient de l’administration. S’il avait été élevé dans le privé il serait plus performant. Je rappelle que je considère que c’est un très grand conférencier et qu’il très efficace dans sa mission d’éducation du peuple. Sa place est là, dans ses conférences, pas dans la politique. C’est un tout autre métier dans lequel il faut savoir sacrifier l’analyse au profit de la formule de choc.