Pour ces deux dames, le principal grief que l’on peut faire à quelqu’un, c’est de ne pas rester au diner du CRIJF et de’ ne pas suffisamment soutenir Israël comme si la seule valeur digne d’être respectée était l’allégeance à cet Etat religieux et fauteur de guerre.
Madame Polony en arrive même à reprocher à Villepin de ne pas faire la morale aux jeunes des banlieues pour qu’ils soient moins "communautaristes".
Mais pour qui se prennent-elles ces deux journalistes aux ordres d’une idéologie (le sionisme) qui se pose en principe universel et surtout obligatoire pour juger la situation politique en France et dans le monde.