Je pense qu’il est présomptueux de qualifier Stéphane Hessel de « gâteux ».
Je pense qu’il a tout à fait raison sur un point : l’investissement des indignés dans les partis pourraient être une des clés d’un changement profond, non pas du système, mais des habitudes du système. Un sorte de révolution interne, en quelque sorte.
Au fond, les institutions actuelles sont-elles si mauvaises ? En les investissant massivement, ne serait-il pas possible d’en faire autre chose ?
Il n’en reste pas moins qu’un autre des problèmes clés est celui des médias ; mais c’est une autre histoire...