Près de 2 heures sur un hitlérien franchouillard, il fallait oser .
Passé l’étonnement , on est frappé par la pauvreté du discours et le peu de profondeur .
On assiste alors à une conversation de bistrot où l’on feint de s’étonner des arguments de l’autre et où l’on essaie de faire la pub pour sa chapelle ...
Le final dans lequel il cite un groupe de musique Skin vaut son pesant de cacahuètes . Ces fascistes ne sont peut-être que des grands naïfs ...