Effet comique : les inquisiteurs qui critiquent ce débat, l’existence même de ce débat, la possibilité même que ce débat puisse exister, le fait que ce débat soit mis en ligne... se considèrent tous comme des anti-fascistes alors qu’ils prouvent ce faisant qu’ils sont des ennemis obstinés de la liberté d’expression.
Ils pensent que seuls les "bons" (ceux qui sont dans le même camp qu’eux-mêmes) ont le droit de s’exprimer, mais pas les "méchants" (ceux qui ne pensent pas comme eux).
Il est amusant de constater qu’ils n’ont pas écouté les arguments des conférenciers, mais qu’ils ont seulement fait une enquête de police sur leur identité pour pouvoir les ficher et les condamner a priori en les classant définitivement dans un camp idéologique diabolique.