Mais une industrie prétendant maîtriser le feu nucléaire, malgré Tchernobyl ou Fukushima, tout en produisant des tonnes et des tonnes de déchets mortels pour l’homme pendant des millénaires, doit certainement considérer ces deux catastrophes comme de simples aléas (...)
Plus qu’un aléa, c’est un nouveau moyen de faire du chiffre, il leur suffit de faire de la réclame pour le surplus de "sécurité" qu’ils vont "mettre-en-œuvre".
A grand renfort de publicité lénifiante pour faire passer les coûts faramineux qu’ils imposent à nos gouvernements, en prenant toujours plus de risque envers les ouvriers sous-traitants et les populations.
Inutile de se demander pourquoi ils pratiquent une omerta !