Quand Asselineau est calme, on dit qu’il est professoral et quand il parle avec énergie, on dit qu’il perd son sang froid. En réalité tout est bon pour ne pas entendre ce qu’il dit et pour l’empêcher d’accéder aux médias. Dans un débat public face à un Sarkozy, on verrait vite qui connaît son dossier, qui a des arguments... et qui essaie de faire peur avec des épouvantails et qui s’énerve comme un roquet malpoli.