C’est quand même épatant qu’un reportage sur les rapports homme femme soit déprogrammé (en France, en 2010), parce que les protagonistes (qui habitent dans les quartiers en question) ont peur de représailles. Ca en dit long sur le niveau de violence, le désert judiciaire, et la détérioration des rapports sociaux en France et dans ce type de quartier.
Et ce qui en dit encore plus long, c’est les commentaires qu’on peut lire ici, qui prétendent que ce reportage n’est qu’une sorte de montage, ou on aurait interrogé dix abrutis sans importance. Si c’était le cas, les protagonistes du reportage ne seraient pas terrifiés, il faut un climat global pour que les dix abrutis aient autant de pouvoir.