Caroline Fourest veut que les éditorialistes écrivent ce qu’ils veulent mais pas les internautes.
Comme si l’expression de la plèbe avait quelque chose d’indécent.
Comme si la parole des éditorialistes auto-promus et cooptés avait le moindre caractère démocratique.
Comme s’il était scandaleux qu’elle puisse être critiquée par des gens extérieurs au serail médiatico-désinformant.
Il est bien naïf et bien peu valeureux de demander que le web la ferme !