Il ne faut pas se tromper, au travers de S. Guillon c’est la rédaction de France-Inter qui est visée (voir le canard enchaîné de cette semaine à ce sujet), une des seules qui soit encore à peu près impartiale. Le comble de l’hypocrisie est quand Sarko défend DSK et Martine Aubry alors qu’il s’en moque comme de sa première chaussette, mais il savait que sinon il serai encore accusé de défendre ses amis.