Liza nous dit "on en a rien à foutre à ce moment là" que Domenech parle d’un projet de mariage avec la femme qu’il aime et qui, sans doute, l’aime. Certes... nous pas ; mais lui, Domenech, oui et surtout à ce moment-là ! Ce n’était que le cri de coeur de la bête qu’on mène à l’abatoir et qui savait qu’il serait massacré. Pour qu’Estelle ne devienne pas l’ultime recours de Domenech, il aurait fallu qu’il eût un P. Arditi pour le défendre depuis les nombreuses années qu’il était sujet au harcellement général. Le vrai problème est qu’il ne se soit trouvé personne pour gueuler un bon coup, demandant qu’on lui foute un peu la paix, qu’on le laisse faire son travail de son mieux, et qu’il est immature d’imaginer qu’on puisse, voire doive gagner à tous les coups. Allez Domenech tu auras fait de ton mieux, pas assez de toute évidence, mais c’est pas bien grave... Tous mes voeux de bonheur pour ton, j’espère, futur mariage.