Monsieur DE VILLIERS sait qu’il n’est plus crédible et qu’il est relègué au fonds du classement avec probablement moins de 4% des voix.

NON, Jean Marie LE PEN n’a pas ses 500 signatures à ce jour.

Peut-être les aurat-il avant le 16 Mars. C’est possible, vu le tapage médiatique qui s’est engagé dans cette campagne électorale.

Ce n’est pas dans l’habitude de Jean Marie LEPEN de crier au complot et déposer plainte auprés du " Conseil Constitutionnel ".

Ce n’est pas de Nicolas SARKOSY que vient ce blocage, mais des socialistes, qui font pression sur les maires de certaines communes qui ne peuvent vivren,qu’avec les subventions des Conseils Régionaux. Comme ces déclarations de soutien sont publiques et connues de tous. Les maires des petites communes sont piègés, à la différence des maires des grandes métropoles qui ont des finances le plus importantes que les conseils régionaux. Ces petits maires d’une population de 50 - 100 - 200 habitants ne peuvent pas vivre avec les revenus des impôts locaux. Ils sont tributaires de ces conseils. Ils sont poings et pieds liés. Les pressions sont fortes.

Si Jean Marie LE PEN n’a pas ses 500 signatures, nous allons vers une nouvelles crise de démocratie. Si le Conseil Constitutionnel s’en mêle, les élections seront faussées et je prédis une grave crise des institutions.

Il faut considérer que Jean Marie LEPEN représente quand même plus de 5 millions de français. Si ces 5 millions de français ne peuvent pas voter, c’est un délit. Une fraude électorale, qui peut mettre la validité des élections illégale.

Je ne pense pas que les grands partis veuillent cette situation.

Ce serait les socialistes qui perdraient toute crédibilité s’il était prouvé qu’ils ont fait pression.

Ce n’est pas la droite qui a peur de Jean marie LE PEN, car elle sait indirectement qu’il voterait pour UMP au second tour, mais la gauche qui a la main mise sur le CR, et qui dirigent les financent et les subventions.

C’est Ségolène ROYAL qui doit s’inquiéter de cette situation, car ce serait elle la première impliquée, du fait qu’elle est la candidate des éléphants du parti.

S’il avait déjà les 500 signatures, Jean Marie LEPEN ne jouerait pas ce jeu trop dangereux.