
D’accord avec le texte et les commentaires ci-dessus.
Notons aussi les aspects bizarres dans l’organisation de cette rencontre :
Il s’agissait d’emblée d’une discussion-négociation entre gens qui ne partagent pas entièrement les mêmes intérêts, qui pouvait donc, c’était prévisible d’avance, mal se terminer.
Mais ça, c’est fréquent.
La chose sans précédent AUCUN, inédite, inouïe, est que la séquence se déroule devant la presse et les caméras TV. Des discordes entre responsables politiques de bords différents sont tout sauf rares ; mais cela se déroule à huis clos. En public, sous les yeux du monde entier (eh oui…), c’est du JAMAIS VU.
Ensuite, Zelensky s’est laissé, comme un débutant, manœuvrer dans une situation où il est seul face à Trump ET Vance dit « grande gueule », dit « pitbull de son maître » (voir Munich…). Et c’est comme par hasard que Vance a mis le feu aux poudres.
Sachant aussi que les deux derniers, professionnels du verbe politique, parlaient leur langue maternelle, avantage décisif comparé à Zelensky dont la maitrise de l’Anglais n’est pas au même niveau.
Tout ça milite en faveur de l’hypothèse du piège programmé d’avance. Notons la petite tape finale de Vance sur l’épaule de Trump genre « we did it ».
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