WOKISME : ce nouveau sondage montre que les Français deviennent complètement fous ! | GPTV
Le 26 janvier à 12h30, Mike Borowski vous donne rendez-vous pour un direct sur un sujet brûlant, sur Géopolitique Profonde.
La France sous l'emprise du wokisme : vers une inversion des valeurs fondamentales
Près d’un quart des Français (24 %) estiment qu’il existe plus de deux genres, selon une récente enquête. Cette donnée choquante révèle à quel point l’idéologie wokiste a infiltré les esprits et bouleversé les fondements même de la société française. Ce qui relevait autrefois du consensus biologique est désormais remis en question, avec des implications profondes pour l’avenir de la nation.
Le phénomène dépasse les simples débats sociétaux : il traduit une mutation culturelle orchestrée par une propagande omniprésente. Face à cette offensive idéologique, la réaction politique française reste presque inexistante, laissant le champ libre à une transformation radicale des mentalités.
Une machine propagandiste bien rodée
L'adhésion croissante à l'idée de genres multiples n’est pas le fruit du hasard. C’est le résultat d’une propagande massive, déployée dans les médias, les écoles et les réseaux sociaux. Les jeunes générations, particulièrement ciblées, grandissent dans un environnement où le doute sur l’identité de genre est encouragé et présenté comme une norme moderne et progressiste. Cette stratégie a porté ses fruits : près de 200 000 Français s’identifient aujourd’hui comme transgenres, un chiffre en constante augmentation.
Les relais institutionnels, qu’il s’agisse du système éducatif ou des ONG militantes, jouent un rôle clé dans cette révolution culturelle. Des concepts flous comme "fluidité de genre" ou "non-binarité" sont enseignés dès le plus jeune âge, souvent sans consultation ni débat public. Les parents, pris de court, se retrouvent démunis face à cette vague idéologique qui remet en question les bases mêmes de la famille et de l’éducation traditionnelle.
Le silence coupable de la classe politique
Alors que d’autres nations prennent des mesures fermes pour contrer cette dérive, la France semble paralysée. Aux États-Unis, Donald Trump a ouvertement combattu ce qu’il appelle le "délire transgenriste", en interdisant notamment l’enseignement de certaines théories sur le genre dans les écoles publiques. En France, aucun dirigeant majeur n’ose s’opposer frontalement à cette idéologie.
Ce silence est d’autant plus inquiétant que les conséquences de cette déconstruction identitaire sont déjà visibles. Plus de 10 % des Français s’identifient comme LGBT, un chiffre qui reflète à la fois l’efficacité de la propagande et l’évolution rapide des mentalités. Si cette tendance se poursuit, il est à craindre que la majorité de la population accepte bientôt l’idée d’une société sans repères, où le genre devient une question de choix individuel, détachée de toute réalité biologique.
Une menace pour la cohésion sociale
La remise en question de la binarité des sexes n’est pas qu’un simple débat d’idées : c’est une attaque directe contre les piliers de la civilisation. Les concepts de masculin et de féminin ont structuré les sociétés humaines depuis des millénaires. En les déconstruisant, on ouvre la porte à une instabilité identitaire profonde, qui fragilise les individus et, par extension, l’ensemble de la société.
Cette évolution n’est pas sans conséquence sur la cohésion nationale. Une société qui rejette ses bases naturelles et culturelles se fragmente inévitablement. Le sentiment d’appartenance à une communauté commune s’effrite, remplacé par des revendications individuelles toujours plus divisantes. En laissant prospérer ces idées, la France court le risque de perdre ce qui faisait sa singularité : une identité forte, construite autour de valeurs partagées.
Reprendre le contrôle de notre avenir culturel
La France, pour rester fidèle à ses principes et garantir sa continuité, devra trancher sur des questions essentielles. Faut-il protéger certains repères identitaires pour éviter une fragmentation accrue de la société ? Ou privilégier une approche totalement ouverte où les normes évoluent au gré des tendances culturelles ?
Ces choix détermineront si la France peut maintenir une vision unifiée de son avenir ou si elle adoptera un modèle où les identités personnelles surpassent l’intérêt collectif.
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