Panique totale chez nos élites : la fin de l’UE est annoncée ! | Géopolitique Profonde
Le 30 janvier à 12h30, Nicolas Stoquer analyse l’effacement total de l’Union Européenne sur la scène internationale, ignorée par Trump, méprisée par Moscou et Pékin, et incapable de peser dans les négociations sur l’Ukraine, tandis que Macron et Bruxelles s’accrochent à un rêve fédéraliste en plein naufrage.
Trump enterre définitivement l’Union Européenne
L’Europe a cessé d’exister dans la diplomatie américaine. Dès son retour à la Maison-Blanche, Donald Trump l’a prouvé : il ne traite qu’avec des États souverains, pas avec des entités supranationales. L’Union Européenne, tout comme l’ONU ou l’OMS avant elle, est considérée comme un obstacle inutile. Le mot « Europe » n’a même pas été mentionné lors de son discours d’investiture. Un effacement total de l’agenda américain.
Le signal est limpide ; Bruxelles n’a plus aucun rôle à jouer. Sous Trump, les relations transatlantiques ne passeront plus par la Commission Européenne ou le Conseil Européen. Seuls les États capables d’assumer leur souveraineté auront droit à une place dans la nouvelle configuration mondiale. Les autres seront laissés derrière. L’Europe ne pèse plus rien et Trump s’en moque ouvertement.
L’administration américaine l’a déjà prouvé par le passé. Trump méprise les institutions supranationales et ne reconnaît que les rapports de force entre États. L’UE est une construction artificielle, sans puissance militaire et sans véritable leadership. Pour lui, négocier avec Bruxelles revient à perdre du temps. Seuls les pays capables de parler d’égal à égal avec Washington auront droit à un siège à la table des discussions.
L’UE marginalisée et humiliée sur la scène internationale
Washington impose sa vision et ignore Bruxelles. Les négociations sur l’Ukraine se dérouleront sans la moindre implication de l’UE. Alors que les élites européennes se rêvaient en médiatrices du conflit, les décisions majeures se prennent entre Washington, Moscou et Kiev. L’Europe, qui se voulait actrice, est réduite au rôle de spectatrice impuissante.
L’appel entre Kaja Kallas, nouvelle cheffe de la diplomatie européenne, et Marco Rubio, secrétaire d’État américain, a été un fiasco. L’échange a été bref, sec et sans suite. Aucun engagement, aucune coopération renforcée, aucune perspective de dialogue. Bruxelles ne compte plus aux yeux de Washington.
L’OTAN, seul outil diplomatique crédible de l’Europe, est lui aussi sous pression. Trump a déjà prévenu : les États qui ne payent pas leur part ne pourront plus compter sur la protection américaine. Autrement dit, ceux qui se cachent derrière le parapluie de l’Alliance sans contribuer financièrement seront laissés à leur sort. Une menace directe pour la France, l’Allemagne et d’autres pays européens trop habitués à dépendre du soutien militaire des États-Unis.
Pendant ce temps, Emmanuel Macron persiste dans son aveuglement. Il reçoit coup sur coup Zelensky et Ursula von der Leyen, comme si ces rencontres allaient restaurer l’influence de l’UE. La France officielle continue de croire en un rêve européen qui s’effondre sous ses yeux.
Pire encore, certains responsables français sombrent dans un délire géopolitique total. Jean-Noël Barrot envisage une confrontation militaire contre les États-Unis… au Groenland. L’idée ? Soutenir le Danemark face aux ambitions américaines sur cette île stratégique. Une absurdité totale qui démontre la perte de repères de la classe dirigeante européenne.
L’Europe s’effondre pendant que l’Amérique avance
L’illusion européenne touche à sa fin. Ursula von der Leyen, incapable d’admettre la débâcle, présente une « boussole pour la compétitivité européenne » alors que l’UE est en perdition. Bruxelles tente de masquer son impuissance avec des discours creux et des projets sans portée. Pendant ce temps, le monde avance sans elle.
La Russie et la Chine consolident leurs alliances et dictent de nouvelles règles du jeu. Les BRICS s’imposent comme un contrepoids au G7. L’Amérique de Trump impose un rapport de force brutal et s’assure de rester en position dominante. L’Europe, elle, n’a plus aucune prise sur le cours des événements. Trop dépendante de Washington, trop faible face à Moscou et Pékin, elle se retrouve coincée, incapable d’agir.
L’industrie européenne s’effondre, plombée par des décisions absurdes et des politiques énergétiques suicidaires. Le Green Deal, vanté par Bruxelles comme une « révolution industrielle », n’est en réalité qu’un fardeau qui détruit la compétitivité du continent. Pendant que les États-Unis relocalisent leurs industries avec l’Inflation Reduction Act et que la Chine rafle les marchés, l’Europe s’enfonce dans la récession.
L’Histoire ne fait pas de cadeau aux faibles. L’UE, construite sur une illusion de puissance, est en train de s’effondrer sous le poids de son incompétence et de son absence de vision stratégique. Les grandes puissances ne la respectent plus. Washington l’ignore, Moscou la méprise, Pékin la manipule. L’Europe ne décide plus de rien.
Les peuples européens, eux, commencent à comprendre qu’ils ont été trompés. Le rêve fédéraliste s’effondre, les nations cherchent à reprendre leur souveraineté, mais il est peut-être déjà trop tard. L’Amérique avance, la Russie et la Chine imposent leurs règles, et l’Europe… sort de l’Histoire.
