Mgr Viganò démasque la religion du Great Reset

La lobotomisation des esprits par le relativisme, est la conséquence de la perte de tout repère religieux solide, Rome ayant été infiltrée par l'oecuménisme globaliste lors du Concile Vatican II (1962-65) non seulement ne joue plus le rôle protecteur qu'elle devrait assumer, mais au contraire se soumet au Nouvel Ordre Mondial.
Mgr Carlo Maria Viganò résiste et continue de prêcher le message originel des Évangiles et de l'Église catholique, en se battant contre l'imposture Vatican II.
Dans ce magistral discours tenu lors des Universités d'Été du Pays Réel en août 2022, Mgr Viganò démasque le Great Reset, l'idéologie de la globalisation du Monde contre les identités spirituelles et culturelles des peuples.

Quelques courts extraits :

"Qu'est-ce que le Great Reset ? C'est l'imposition forcée d'une quatrième révolution industrielle qui conduira le système économique et social actuel à l'implosion et permettra par un appauvrissement général et une réduction drastique de la population, la centralisation du pouvoir entre les mains d'une élite inspirant à l'immortalité et à la domination du Monde.
Ils voudraient nous réduire à une masse amorphe de clients-esclaves confinés dans des boxes et perpétuellement connectés au réseau.
À travers le Great Reset, ils veulent effacer la société chrétienne occidentale afin d'instaurer une synarchie libérale communiste sur le modèle de la dictature chinoise, dans laquelle toute la population est contrôlée et manoeuvrable à volonté. Dans une société inspirée même en partie par les valeurs du catholicisme, les groupes de pouvoir financier et l'élite du Nouvel Ordre Mondial n'auraient pas leur place."
"Ce qui déclenche cette haine, c'est qu'il puisse exister même dans le coin le plus reculé de la planète, une alternative possible à la dystopie mondialiste, un monde dans lequel l'employeur peut honnêtement payer ses employés, dans lequel l'État impose des impôts raisonnables à ses citoyens, dans lesquelles les oeuvres de charité rendent des services gratuitement et sans spéculation, dans lequel l'innocence des enfants est respectée et la propagande LGBTQ n'est pas autorisée. Un monde dans lequel le règne social de Jésus Christ se montre non seulement possible, mais comme la meilleure forme de société administrée pour le bien commun et pour la gloire de Dieu."

"Ils célèbrent la liberté d'expression de la presse, qu'ils financent généreusement, mais ne tolèrent ni la dissidence, ni la vérité, qu'ils cherchent à rendre tout simplement inaccessible, invisible, et encore. 
Le monde globaliste n'a pas de passé à nous montrer pour confirmer la grandeur de ses idées, de sa philosophie, de sa Foi. Inversément : il vit de la falsification de l'Histoire, de l'effacement du passé, de son élimination chez les nouvelles générations,
afin qu'il n'y ait personne, qui devant la cathédrale de Chartres, soit capable de reconnaître les images du Christ et des Saints,
afin que personne ne sache que dans la sainte chapelle était conservée l'ampoule de saint chrême portée par un Ange pour consacrer les rois de France,
afin que personne ne puisse connaître leurs gestes, ne trouvent leurs tombes, ne comprennent les trésors de l'art et de la littérature qui ont fait la grandeur des nations catholiques.
L'effacement de la culture révèle la radicale inconsistence ontologique du mondialisme face à la splendeur de la civilisation chrétienne.

"Là où il n'y a pas le Christ, il ne peut y avoir la vérité. Et nous savons à quel point ils ressentent de la haine pour notre Seigneur, une haine qu'ils ne peuvent cacher, qu'ils exhibent dans le spectacle d'inauguration des évènements européens, pensons à l'inauguration du tunnel de Saint Godard, ou au Jeux Olympiques de Londres, et tout récemment, l'inauguration des jeux du Commonwealth à Birmingham. Une haine qu'ils exhibent dans les recommandations de ne pas célébrer Noël. De ne pas utiliser des noms chrétiens pour nos enfants. 
Leur haine devient meurtrière lorsqu'ils théorisent l'avortement comme un droit de l'homme, cachant son atrocité derrière une expression hypocrite, de santé reproductive, parce que c'est la vie qu'ils détestent, dans laquelle ils voient l'image et la ressemblance de ce Dieu qu'ils ont perdu à jamais. 

"Il est difficle de donner foi aux modernistes, qui par leur comportement dépourvu de charité, désavouent leurs vains discours. Il est impossible de croire ceux qui nous demandent de manger des sauterelles et des cafards pour sauver la planète, alors qu'ils se nourrissent de précieux morceaux de boeuf, ou d'abandonner la voiture Diesel, alors qu'ils se déplacent en jets privés. Il y en a des centaines à Davos, lors des sommets du World Economic Forum. Nous devons redécouvrir cette dimension de réalisme et d'objectivité, qu''ils nous ont fait perdre pas à pas, dont ils nous ont appris à avoir honte.
Nous sommes "Milita Christi", soldats du Christ, appelés à combattre un ennemi qui voudrait nous frapper dans le dos, ou nous faire déserter lâchement. parce qu'il sait que lorsqu'il nous combat ouvertement, derrière nous ils trouvent la Vierge Immaculée, cette Mère que l'ennemi déteste parmi toutes les mères de la Terre, cette épouse de l'Agneau qu'ils vilipendent en attaquant le caractère sacré du mariage et des vertus domestiques, cette femme que le serpent humilie en défigurant la féminité et en imposant une parodie obscène." 

"La doctrine mondialiste est essentiellement satanique. Parce que elle est l'application sociale et globale la plus directe et la plus implacable de la rebellion de Satan. Nous y trouvons cet hybris, ce défi au ciel que la civilisation classique encore païenne mais pré-ordonnée à l'avènement du message du Christ dans la plénitude des temps, avait sagement stigmatisé, et qui nous ramène à la rebellion de Lucifer.
L'hybris, le fol orgueil de ceux qui se croient comme Dieu et usurpent les attributs divins, conduit aujourd'hui la science à nier sa vocation au service du Bien, pour la mettre au service du Nouvel Ordre, pour accomplir avec le progrès technologique ce qui était impensable dans le passé : effacer la séparation entre l'homme et la machine, entre son esprit et l'intelligence artificielle.
Il n'est donc pas surprenant que le transhumanisme soit l'un des points essentiels de l'agenda 2030.
Derrière ce projet fou de mettre la main sur la Création, et même d'oser altérer le sanctuaire de la conscience dans lequel seul Dieu descend avec sa grâce, derrière ce plan de violer l'être humain pour le rendre plus performant, il y a une fois encore une aberration doctrinale, un mensonge opposé à la vérité de Dieu.
Créer un être immortel, comme certains le voudraient, est le reddition technologique d'un délire infernal à la base duquel se trouve la présomption de pouvoir effacer dans l'homme les conséquences du Péché Originel. Là où le péché d'Adam a porté la mort et la maladie, la tromperie du transhumanisme promet l'immortalité et la santé."

"Le délire du transhumanisme ne vise pas à rendre la course de l'athlète plus rapide, ou la visée du soldat plus précise, mais à corrompre l'homme dans le corps, après l'avoir frappé dans l'âme. Satan ne se résigne pas à la défaite. D'autant plus terrible qu'en elle a resplendi l'obéissance à notre Seigneur, en opposition à l'orgueil du "non serviam" luciférien. Et si Dieu par le chemin de la grâce parvient à toucher les âmes et à les ramener à lui, la restituant à la vie Éternelle, Satan s'acharne aujourd'hui sur les corps pour contaminer l'oeuvre du Créateur et défigurer la créature. Son oeuvre dévastatrice s'étend également au reste de la Création, avec des résultats abominables qui prétendent rivaliser avec la magnificence de Dieu. 
Tel est le combat entre le Bien et le Mal, qui depuis la création d'Adam, inclut également les êtres humains, appelés à choisir dans quel camp se ranger, parce que la neutralité est déjà une alliance avec ceux qui méritent la défaite."

À écouter en intégralité que vous soyez chrétien ou non croyant.

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