Le Pape François en Terre sainte
"Dans les rue de la ville Sainte, quelques drapeaux aux couleurs du Vatican. A Jérusalem, beaucoup sont chrétiens et dénoncent un climat "empoisonné". Pour cause, les violences des juifs ultra-orthodoxes faites aux chrétiens ont installé un climat inquiétant. Avec des actes de vandalisme et des violences physiques faites par les juifs radicaux, Jérusalem est menacé. A quelques heures de l’arrivée du Pape François dans la vieille ville du Proche-Orient, les services de sécurité craignent des débordements."
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Une étape imprévue
Sur le sol de l’Etat de Palestine reconnu par le Vatican, le pape a appelé à mettre "fin à une situation toujours plus inacceptable" dans le conflit israélo-palestinien, en demandant de reconnaître le droit pour un Etat d’Israël et un Etat de Palestine de vivre en paix et sécurité.
Etape imprévue, le pape a également posé ses mains sur la barrière de séparation édifiée par Israël. Il a fait arrêter sa voiture découverte pour descendre au pied du mur de béton, à l’emplacement d’une tour de guet. Le chef de l’Eglise catholique a posé ses mains sur le mur, en partie couvert de graffiti récents, dont l’un, en anglais lui était directement destiné : "Pape, nous avons besoin de quelqu’un pour parler de justice"
De son côté, le président palestinien a accusé Israël devant le pape François de "tenter de chasser les Palestiniens, chrétiens et musulmans", de Jérusalem-Est occupé et annexé.
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