jeudi 2 mai 2019 - par Nigari

Consentement sexuel et enfant : Le paradoxe pervers

L'actualité française depuis quelques années nous illusionne avec le paradoxe pervers du "consentement sexuel" de l'enfant. L'enfant n'est pas un être en capacité d'être consentant de quoi que ce soit, car il est immature, vulnérable, et incapable de discernement, c'est la raison pour laquelle il doit être protégé, éduqué et instruit.



11 réactions


  • sls0 sls0 2 mai 2019 18:24

    C’est une vidéo pour un concours d’amalgame ou un exemple de paradoxe de Simpson poussé à l’extrême.

    Confus ce qui se trouve entre les deux oreilles de la miss.

    Elle fait de la pub pour son bouquin, souvent une histoire de fric et de pub ce style de vidéo.

    Vous avez vu les tâches qui nous dirigent ? Et vous voulez qu’ils sortent des lois sensées ?

    Moi aussi je trouve cette loi mal faite, on a à faire à des ânes qui essaient de répondre à la mode du moment, l’émotionnelle du moment.

    Bien le témoignage d’une psychanalyste, pourquoi pas une scientogue, c’est aussi une secte.

    Eh oui pour les psychanalistes l’autisme étaient de la faute des parents, bravo pour leurs diagnostiques.

    Pour avoir tout lu Freud, ça des relents de pédophilie quand même, bon pour escroquer du fric le Freud mais aucun résultat positif.


  • JL 2 mai 2019 18:37

    Quand Freud écrivait : l’enfant est un pervers polymorphe, il commettait une grave faute !

     

    En effet, l’enfant n’est jamais pervers par définition, il n’est que potentiellement pervers. Et cela advient ou n’advient que, s’il est perverti.

     

    Miser sur son consentement c’est le meilleur moyen pour le corrompre.


    • louis 3 mai 2019 13:00

      @JL
      C’est ce que je pense également , il faut bien une étincelle pour allumer un feu .


    • JL 3 mai 2019 13:36

      @louis
       
       ’’ il faut bien une étincelle pour allumer un feu .’’
       

       Non, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire !
       
      S’il y a un feu à allumer c’est celui de la raison ; la raison qui permettra au petit d’homme de commencer à construire son bonheur d’être humain.


  • alanhorus alanhorus 3 mai 2019 13:03

    La pédophilie était interdite dans l’Égypte antique, condamnée par le livre des morts de l’enfer pour le pédophile.

    La justice actuelle protège le pédophile oubliant ou ignorant sciemment que de nombreux pédophiles tuent leurs victimes. (exemple dutroux julie et melissa)

    La pédophilie est avant toute chose un abus de faiblesse, avec la dérive hélas possible du meurtre de la victime.


    • sls0 sls0 3 mai 2019 16:07

      @alanhorus
      J’ai lu le livre des morts il y a plus de trente ans, ma mémoire peut me jouer des tours.
      Je vois que vous en êtes peut être un spécialiste.
      Pourriez vous m’indiquer le chapitre où l’on condamne dans le livre des morts.
      Je vous mets en lien un exemplaire du livre des morts pour qu’il n’y ait pas de confusion dans les chapitres.
      https://archive.org/stream/lelivredesmorts00piergoog#page/n8/mode/1up


    • jeanpiètre jeanpiètre 3 mai 2019 19:49

      @alanhorus
      en même temps , les mariages les plus respectés étaient entre frères et soeurs, et les mariages d’enfants étaient fréquents. il est difficile de comprendre un texte antique avec notre vocabulaire et notre culture du XXIème siècle , les interprétations sont trop piégeuses.


    • sls0 sls0 4 mai 2019 01:09

      @alanhorus
      Ma lecture de l’époque était parcellaire exemple dans la phrase "je n’ai jamais touché à la clé sur la porte" ce n’est pas l’interdit qui m’intéressait mais le fait que la clé était connue à l’époque.
      En regardant sur les deux autres liens j’ai retrouvé le chapitre, c’est le XXV. Dans le papyrus de Turin il n’y a pas mention de pédophilie tout comme les papyrus stockés en France à l’époque de la traduction.
      L’emploi du livre des morts va de -1700 à +63, il a pu avoir des changements de moeurs sur une telle durée.
      Dans un de vos liens on y fait référence au conditionnel vu qu’il y a désaccord sur la traduction entre égyptologues sur d’autres livres des morts.
      Les premiers livres des morts était réservé aux rois et étaient écrit sur le sarcophage ce qui limitait le texte, il y en avait aussi sur les murs.
      De part sa condition sociale il ne devait pas trop être concerné par le fauchage du champs du voisin et autre interdits du genre.
      Dans le papyrus de Turin on fait beaucoup référence à Osiris, c’est du tardif, ouvert à tout le monde.
      Les rois d’un milieu différent c’était plus Seth et Horus.
      A la période grecque, les moeurs grecques ont du suivre avec la mode de l’éromène. Sorti du gynécée à 12 ans le ou la jeune risquait de finir dans le plumard d’un ou d’une gay. Ca prenait fin aux premiers poils au menton. Il est très possible qu’il y ait un tabou pendant la période gynécée. Je n’ai pas trouvé de traces autres que conditionnelles au sujet du livre des morts dans un de vos liens.
      Même dans les tribus les plus primitives d’il y a une soixantaine d’années, malgré une initiation prévue et précoce, il y avait toujours l’interdit avant 11-12 ans avec plus vieux.
      Les premières règles devaient indiquer le passage au statut de femme.
      En zone chaude ça commence à 10-12 ans en zone froide ça peut aller jusqu’à 16 ans.
      C’est un tabou généralisé, même s’il n’y a pas d’écrits on peut quand même généralisé historiquement.
      La pédophilie je ne crois pas qu’elle ait été un jour vu autrement comme une rupture de tabou. Je n’ai pas assez de connaissances historiques pour trouver un exemple. Il y a bien le coup de Mahomet avec Aïcha 10 ans c’est limite mais le vendeur de tampax n’a plus ses archives, bénéfice du doute. A l’époque on pouvait aussi se marier pour protéger ou pour une alliance, bénéfice du doute.


    • sls0 sls0 4 mai 2019 01:18

      @jeanpiètre
      Si le mariage entre frère et soeur ou fille se pratiquait au niveau de la famille royale c’était pour éviter de disperser le sang royal ou divin.
      On a retrouvé pas mal d’actes de mariage du peuple, il y a des mariages cosanguins donc ce n’était pas interdit mais c’est vraiment une infime minorité, donc pas une mode. En lisant le livre des morts on voit que seul l’adultère était franchement réprouvé sinon c’était assez libre.


  • jeanpiètre jeanpiètre 3 mai 2019 19:10

    toujours rien sur les réseaux chrétiens que vous estimez pourtant inféodéspar la truelle.

    Monsieur Nigari , vous êtes un troll


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