
@Manuel 235
le renversement de ce qui a été inversé, ou l’inversion de ce qui a été renversé, ne ramène pas nécessairement à l’original.
Le contraire ou l’inverse de la vérité est un mensonge. Mais l’inverse ou le contraire d’un mensonge n’est pas la vérité.
Je suis d’accord avec Spinoza mais aussi avec Freud.
Votre phrase : ’’Aujourd’hui
on a donc d’un côté le peuple souvent enfermé dans ces valeurs inversées
(la morale des faibles : christianisme, wokisme, etc) à qui ont dit
de ne pas manger de viande, de rester devant la TV ou YouTube et que
l’on monte les uns contre les autres. Et de l’autre les ultra riches et leurs serviteurs qui n’ont
aucune morale, aucune pitié et un appétit de malades.’’
— >
me fait penser au concept freudien
de castration lequel a, de tous temps agi depuis l’antiquité et a formé, hier des hordes barbares, aujourd’hui avec la ’civilisation’’, des peuple de castrés (névrosés et impuissants) dirigés par des tout-puissants rescapés de la castration (*), soit par leur condition aristocratique, soit en se structurant pervers ou psychopathes.
On ne peut pas imaginer une civilisation fondée par un peuple dont tous les membres seraient demeurés dans la toute puissance originelle.
(*) de l’infans, du bébé tout-puissant, étymologiquement, celui qui ne parle pas encore
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