jjwaDal 18 mars 2023 05:00

@pololo
L’analogie est invalide.
La vaccination est un outil magnifique pour gérer des pathogènes que notre système immunitaire ne sait pas gérer convenablement. Celui-ci avait le taux de létalité de la grippe chez les moins de 70 ans et vous confondez intentionnellement (ou par bêtise) l’administration d’un pathogène affaibli/atténué avec l’injection d’un programme de fabrication d’un antigène de surface.
Quand on s’acharne à vouloir protéger des gens qui le sont déjà par le simple fait d’être jeune et en bonne santé et d’avoir un système immunitaire capable de gérer le pathogène, cela s’appelle une opération commerciale et pas une mesure de santé publique.
Les pionniers de la vaccination n’ont jamais été en mesure de vacciner une bonne fraction de l’humanité et donc ils ont effectivement conduits une expérience à portée limitée. On a vacciné à grande échelle contre la polio quand on avait déjà un confortable recul, ce qui n’a pas empêché ma belle soeur de se retrouver handicapée à vie suite à l’injection du vaccin antipolio par ex.
Il est possible que cette nouvelle technique s’avère précieuse et sans danger. Pour le moment le jury ne peut se prononcer.
Mais comme l’a confirmé une étude récente, on ne sait pas fabriquer un vaccin contre un virus qui mute rapidement. On a effectivement vacciné des gens contre un variant disparu, ce qui pourrait expliquer en partie le peu d’efficacité de ces produits, un voisin triplement vacciné étant passé aux urgences pour un décollement de la plèvre, une autre relevant d’un syndrôme de guillain-barré.
Oui, la plupart n’ont eu ni myocardite ni ne sont morts après la vaccination. La belle affaire... On commence toujours par étudier la toxicité immédiate d’une substance, assez facile à vérifier.


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