TchakTchak 4 octobre 2022 13:29

@hase

Les médias Chinois, et Indiens évoquaient dès le début la thèse du piège Ukrainien, tendu par Washington, dans lequel Poutine serait tombé.

Quand on énerve et menace un chien sans relâche, il finit par mordre : le Donbass, l’installation officieuse de l’OTAN à la frontière Russe, des labs bio montés dans tout le pays avec déjà des petites épidémies locales, et sans doute d’autres choses que je ne sais pas.

 

Poutine ne pourra pas tenir indéfiniment 800 km de front et autant de brèches à continuer d’ouvrir, maintenant Kherson. Souvent, quand on parle de tournant de la guerre, c’est quand des alliés rentrent dans le jeu. Poutine en a, mais ils ne peuvent se permettre de se joindre à un agresseur.

Est-il dos au mur ? Quand on n’a plus de solutions, on commence à perdre ou on monte l’escalade. Il commence à envoyer ses Sarmat : c’est le méchant. Il ne le fait pas : on n’a plus à craindre de lui et son armée n’est pas si puissante.

 Washington parie sur son scrupule à envoyer des missiles de longues portées et nucléaires. Pendant ce temps, il continue : la destruction des deux Nord Stream, ok, ça passe. La puissance économique Allemande était un problème : c’est maintenant réglé, l’UE avec.

 

 Poutine est un judoka, c’est son tempérament stratégique qui lui a toujours réussi.  Son attaque de l’Ukraine (au lieu simplement du Donbass) a été un coup de poker, au culot, pour faire tomber le régime. Mais ça, c’est le sport de l’Oncle Sam (avec l’acharnement sans fin, puisqu’il dispos du dollar à volonté), pas celui de Poutine. Il a organisé sous les bombardements des référendums qui avaient déjà été faits en 2014 et qu’il avait refusés, pour avancer l’inviolabilité du territoire Russe. Ladite inviolabilité démentie dès le lendemain avec la prise de Lyman. Bref, il est dans une guerre qui ne lui ressemble pas, contrairement par exemple à celle en Syrie, où il a été magistral.


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