Étirév 28 septembre 2022 11:15

D’après « Lecture Françaises » d’avril 2001, à partir de 1989, le bureau des Nations Unies du Haut-Commissariat pour les réfugiés a été la centrale qui a orchestré les migrations de masse des musulmans nord-africains en Europe et des slaves des pays de l’Est. Ainsi a-t-il été assigné à la France un quota de 24 millions d’émigrants qui en effaceront littéralement le visage et l’histoire. Les États ont même changé leurs lois pour accepter un afflux massif et rarement contrôlé d’extra-communautaires sur leurs territoires.
On comprend que, afin de transformer le modèle d’assimilation culturelle et d’adoption totale de la culture française selon la République « Une et Indivisible », qui « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », par un multiculturalisme, libéral, forcé, diviseur et communautaire, selon le modèle anglo-saxon, et conduisant à toute une kyrielle de malheurs sociaux, culturels, économiques et politiques, individuels ou collectifs, l’action antiraciste est l’une des sphères d’action du mondialisme.
NB : SOS Racisme », est une association créée en 1984, dont on trouve l’origine dans des cercles proches du Parti socialiste ; ses fondateurs et parrains sont (entre autres) Julien Dray, Bernard-Henri Lévy, Marek Halter et Harlem Désir. Le nom de l’organisation, en lui-même, est un paradoxe, presque une provocation : « SOS racisme ». Appelle-t-on le mal au secours ? Serge Malik, l’un des fondateurs du mouvement (qui en démissionnera), a écrit un livre intitulé « Histoire secrète de SOS Racisme » dans lequel il dénonce une instrumentalisation politique de l’antiracisme à travers « SOS Racisme ».
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