herve_hum 14 juillet 2022 23:03

@Conférençovore

En effet, tu as fait une démonstration théorique. Dans les faits l’échelle change au contraire absolument tout. Je t’ai bien bien lu au contraire.

Contrairement à toi, ma démonstration n’est pas théorique, elle est factuelle, s’appuie sur les faits et voilà bien pourquoi tu es bien incapable de me contredire dans les faits ou même en théorie.

Et non, tu me lis toujours mal, sans arriver à comprendre vraiment ce que j’écris, même si c’est élémentaire. En effet, j’écris que le principe reste invariant fondamentalement, c’est à dire, dans ses conditions d’existences, mais change radicalement dans la forme prise. Donc, l’échelle change absolument tout au niveau de la forme, mais absolument rien au niveau fondamental.

prenons le cas de l’Algérie, le rapport de force avec la France n’est plus celui du XIXème siècle ou même du milieu du XXème siècle. De fait, la France n’est plus une puissance dominante et doit composer avec les autres.

Pour ce qui est de la personnalité juridique d’une entreprise, elle n’existe que dans l’imaginaire humain, pas dans la réalité physique. Libre à toi de gober ce genre de manipulation, mais il faut alors en accepter les conséquences logiques. C’est à dire, l’impossibilité de poursuivre juridiquement les propriétaires de l’entreprise. Et de fait, seuls les employés, dont le PDG peut être poursuivie pénalement.

Dans les faits, le communisme n’a jamais été appliqué par un pays moderne, par contre, le faire croire a permis de diaboliser cet idéal. Par définition, le commun ne peut pas être dominé par un individu. C’est comme affirmer que l’espace public est la propriété d’une personne privé !

Pour ton dernier paragraphe, tu confirme bien ton incapacité à comprendre ce que j’écris, quand bien même ce sont là des bases élémentaires de la causalité.

Le fait que la compétition est consubstantielle de la coopération où il s’agit de définir l’ordre de priorité entre les deux. Je t’ai donné l’exemple de l’entreprise qui doit privilégier la coopération à l’intérieur et la compétition à l’extérieur et cela, en respect des définitions du sens des mots coopération et compétition. A savoir qu’il est impossible de coopérer avec une adversaire dont on fait la compétition en même temps. Autrement dit, dans une action donnée, soit c’est la coopération, soit c’est la compétition qui est l’ordre prioritaire. Cela ne préjuge pas des autres actions pour autant.

Pour finir, le vecteur principal du progrès n’est pas la compétition, puisque la coopération est tout aussi efficace. Le vecteur du progrès est le défi que ce propose de relever l’être en tant que tel et pour y parvenir devra utiliser autant la compétition que la coopération. S’il n’en utilise qu’un, il n’arrivera à rien.

Mais encore une fois, j’insiste bien sur le fait qu’une polarité ou dualité ne peut pas voir ces deux termes agir au même niveau de priorité en même temps. En physique, c’est impossible, l’un précède nécessairement l’autre, mais l’un ne peut pas supprimer l’autre pour autant, seulement définir un ordre de priorité. C’est là que tout se complexifie.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe