
@bubu12
Oui, TchakTchak = tchakpoum, je me suis fait voler les codes de mon ancien compte par ma bécane vérolée qui les a changés (avast gratuit arnaque, maintenant, il faut repasser à avira).
Je vous ai fait un chrono historique général qui démontre le dépouillement des généralistes à la possibilité de prescrire et soigner les malades quand il s’agit du covid. Ce n’est pas la peine de chipoter sur tel ou tel point, c’est la vue d’ensemble qui montre l’évidence, la cohérence de parcours. Il y a le recul, maintenant. Et il y a d’autres médocs que l’HCQ et l’ivermectine qui agissent, on le sait très bien.
Sur les études : on peut en dénicher autant qu’on veut qui indiquent que ces médocs marchent ou qui indiquent que ça marche pas. Bubu et TchakTchak pourront toujours s’envoyer des études pour montrer qu’ils ont raison, c’est vain. Il y a des études tronquées, ou inefficientes, ou les deux, sans qu’on puisse savoir si les résultats renseignent exactement ce qui a été fait. Et peu importe la raison, le résultat est là : c’est une perte de temps. Les rédacteurs en chefs du Lancet et du NEJM, eux-mêmes, l’avaient déjà annoncé, Richard Horton dès 2015. La médecine d’ordinateur et d’essais en conditions contraintes avec paramètres conventionnels, n’est pas la même que celle de terrain, de cumuls et échanges d’expériences à adaptations progressives de protocoles pour améliorer les résultats. L’idée du combo antiviral + antibio + renfort immunitaire, ça vient du terrain, pas des pharmas qui chuchotent aux oreilles des gouvernements. C’est bien là qu’on voit le problème : le boulot d’un généraliste c’est de trouver comment guérir, alors que celui d’une industrie pharma, c’est de trouver comment vendre un nouveau médoc. Voilà pourquoi la réutilisation d’anciens médocs est interdite, en empêchant les médecins de travailler, en bidonnant les résultats d’études (il peut suffire d’un rien pour tout changer) et en convoquant les employés des autorités sanitaires pour baratiner dans le mou afin de dire non.
Par contre les résultats en Uttar Pradesh, sont bien plus parlants que ces études permanentes noyées par le conflit gelé d’intérêts antagonistes, mais ça, vous zappez. L’Inde est un état fédéral, donc les Etats sont plus proches des populations. En plus la médecine populaire est toujours vivante (celle ayurvédique), et la nigelle, le curcuma, le pot yéti, j’en oublie, sont aussi utilisés contre le covid. L’Etat Indien, lui, est tenu par l’OMS, zombifiée par les lobbies pharma, Bill Gates et consorts, qui veulent décider la santé mondiale juste pour eux. Donc la bagarre est incessante entre l’Etat central et ceux fédéraux (c’est pareil aux States). Avec le temps, tout le monde sait les résultats de l’Uttar Pradesh. Les autres Etats fédéraux s’y alignent progressivement. Sur Our World In Data le courbe nationale des morts covid en Inde est déjà quasiment éteinte. Alors que celles des pays atlantistes continuent à tressauter. Et voyez celle d’Israël, le pays le plus en avance au monde en "boosters", qui a éradiqué les soins précoces, avec une courbe encore en pics de glace.
Le problème maintenant, pour les pays du Sud qui ont bien compris le délire, ce sont les approvisionnements. Le Maroc, par exemple, rame pour fournir les pharmacies en ville en HCQ, ivermectine, azithromicyne, vitamine D. Elle monte ses usines pour se les fabriquer, mais ça prend du temps.
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