Conférençovore Conférençovore 29 mars 2022 13:22

"Quand on écoute l’homme, franchement... on adhère !"

Si l’on veut d’une France qui ne sera plus française, car c’est bien ce que propose Mélenchon (je vais revenir sur le pourquoi) oui... on peut adhérer. Autrement, non. Mélenchon veut diluer la nation française. C’est tout simplement un ennemi, pas aussi nuisible que les mondialistes que nous avons au pouvoir car il a tout de même une ligne sociale et écolo avec une certaine cohérence, mais si demain cet ibère nocif accède au pouvoir, l’intégralité de la France ressemblera à Marseille car celui qui veut régler "à la bonne franquette" les pbs d’insécurité en désarmant la police et par le dialogue, celui qui veut encore davantage ouvrir nos frontières à l’intégralité de l’Afrique, va juste ensauvager un peu plus la société en donnant un sentiment d’impunité intégral à la racaille.

Mais pourquoi veut-il cela ? Pourquoi ce type qui n’est pourtant pas un abruti veut-il à se point ruiner notre pays. Plusieurs éléments.

En préambule, tout cela découle d’un profond désordre identitaire : Mélenchon n’a aucun ancrage en France. Ses 4 grand-parents sont Espagnols (pour 3) et Italien. Ce n’est pas un pb en soi, mais cela donne une première clé de lecture pour comprendre comment cet individu perçoit la France et quel funeste destin lui réserverait-il si par malheur il avait les manettes. Une deuxième est qu’il n’a connu la France qu’à l’âge de 11 ans. Tout le début de sa vie a été passé à Tanger où il est né de parents pieds-noirs. Là encore, cela ne suffit pas pour en faire nécessairement un déracinné ni un Afrançais rabique.

Ensuite, il y a ses engagements. Jeune et comme de très nombreux fils de profs (instit pour sa mère et un père receveur aux PTT, donc quasi fonctionnaire) son engagement est communiste et plus précisément trotskyste lambertiste. Dès son plus jeune âge donc, le jeune Jean-Luc est moulé à l’internationalisme. Et de nombreuses déclarations de sa part trahiront plus tard une détestation viscérale des Français de souche, surtout les ruraux qu’il estime sous-cultivés, qu’il dépeint en alcooliques, etc, contrairement à ses Marocains. Ah oui... quand Jean-Luc nous parle de son Maroc, il faut bien comprendre que ce n’est pas le Maroc ou l’Algérie rurale. J’ai bien connu ces pays (surtout l’Algérie) et 30 ans plus tard que Jean-Luc : l’Algérie (le Maroc un peu moins) profonde, c’est simple : c’est le tiers-monde, avec les gamins en guenilles qui s’amusent avec des chambres à air ou des boîtes de conserve. Rien à voir avec ce bouillon de culture d’ailleurs largement fantasmé des grande artères de Casa ou Marrakech. Du Maroc Jean-Luc n’a connu que la zone internationnale de Tanger et les grandes villes.

Après quelques courtes expériences professionnelles, JLM devient surtout un professionnel de la politique entre postes de direction dans des cabinets, direction de sections de parti, pour ne plus jamais quitter ce monde. C’est le 4ième élément : JLM n’a quasiment jamais bossé de sa vie dans le privé ou alors c’était il y a un demi-siècle. Quand on est à ce point deconnecté des réalités du marché du travail, de la France profonde (c’est le 5ième élément), le devenir du peuple autochtone ne peut que vous indifférer (c’est le même processus que pour d’autres politocards, quel que soit le bord d’ailleurs). De la France, Mélenchon ne connaît rien. Franc-maçon avec comme thème privilégié la laïcité, sa déconnexion est également religieuse, sans doute bien aidé par un climat militant athéïste consubstantiel à l’EG. Comme bcp de gens de gauche, il déteste non pas LES religions en général, mais tout particulièrement l’église catholique. Ceci explique largement la préférence islamique patente chez cette gauche socialo-coco-collabo... une préférence également motivée par un vil clientélisme électoral, les prolos blancs ayant fuit ces sociaux-traîtres et xénophiles patentés. L’église est perçue comme alliée indéfectible de la bourgeoisie et responsable (selon eux) de maintenir le peuple sous cloche, responsabilité qu’ils ne formuleraient jamais s’agissant de l’islam bien que cette religion soit une prise en charge intégrale de l’individu dans les moindres aspects de sa vie quotidienne... Et ne parlons même pas du traitement des femmes ou des minorités sexuelles... Lâcheté quand tu nous tiens...

Ah oui... Jean-Luc n’aime pas trop qu’on lui rappelle son passé maçonnique mais... il n’est pas inutile de préciser qu’il lui aura fallu attendre près de 40 ans (en 2020) pour qu’il quitte enfin les frangins de la truelle (truelle qu’il n’aura jamais tenu dans ses mains lui-même) et encore... suite à des accusations de communautarisme (lol) du CRIF.

Le 5ième élément disais-je est cette ignorance, ce mépris même pour la France autochtone. Jean-Luc n’a connu quasiment que cette France "créolisée", que ce soit à Massy où le nom des rues de tout un quartier grand remplacé (je connais un peu pour y avoir vécu) sont des noms de villes... étrangères, puis Marseille où là, il n’est même plus nécessaire de faire un dessin.

6ième élément, son parcours politique lui-même : internationaliste dès le lycée, le pantouflard Mélenchon (sénateur dès 1986, le plus jeune de France) n’aura de cesse de défendre les intérêts extra-nationaux. En 1992, il appelle à voter pour le traité de Maastricht, qu’il considère comme un « compromis de gauche » avant de retourner sa veste peu après et avoir (pour le coup) une position plus cohérente. Mais il mangera à la gamelle mitterando-jospinienne le JL, comme les autres, son vieux camarade Julien Dray et toute la clique des socialopes, les Lang et consorts qui ont défait la France. En 2002, il fondera "Le Nouveau Monde" (rien que le blaze annonce la couleur et elle n’est pas bleu-blanc-rouge).
Le mot clé de Jean-Luc c’est "République". Il l’a dit en 2022 lors d’un de ses meetings : "Vive la République, vive la France, mais surtout vive la République car sans la République, il n’y a pas de France". Cette seule phrase résume à elle seule ce révisionisme matiné d’obsessions révolutionnaires si prégnantes à gauche. Etre Français, pour lui, pour eux, ce n’est pas appartenir à une histoire vieille de 1500 ans. Non, cette histoire doit mettre être balayée et les restes humains de nos rois jetés aux ordures comme s’en réjouissait l’une de ses camarades, l’insupportable Autain. Etre Français, c’est juste avoir un bout de plastique dans la poche sur lequel il est marqué que vous en êtes. Hors de question donc de dire "Vive la France" si ce n’est en toisant au passage les 1300 ans d’histoire qui précèdent 1789. Et tribune libre pour dégueuler sur ces Français de souche qui, eux, sont là depuis des siècles, voire des millénaires, ces "blonds aux yeux bleus" au milieu desquels le petit Jean-Luc ne "supporte pas de vivre". Toute la France doit être déracinnée, comme lui. C’est le seul moyen pour que Jean-Luc se sente bien et cesse de nous vomir de toute sa bile méditerranéenne purulente. 
Quand il s’agenouille des minutes durant pour un criminel noir américain camé jusqu’au trognon mais ne se fent que d’un simple tweet pour Philippe, massacré par des racailles extra-européennes, un vrai et abominable crime commis pourtant en France, sur un Français et qu’il qualifiera de simple "incident", on a là la quintessence même de ce qu’est cet individu.

Je suis bien d’accord avec toi Jean-Luc, la "République", ce machin désincarné, ce mot qui n’a plus aucun sens tant ce qui en émane est flasque, ce tapis sale sur lequel les croquenots des pouilleux du monde entier s’essuient, c’est tout à fait toi. Contrairement à Eric qui lui aussi n’a pas aune goutte de sang français, la France est l’exact opposé de toi, paltoquet hargneux et dangereux. "Dangereux" car quand ce sinistre individu se permet de menacer un policier en direct, l’insulte, traite de "chien" un autre candidat, quand ce gnome se permet d’intimer l’ordre à un de ses sbires de "casser la gueule" d’un passant qui ose l’interpeller, quand ce nabot se met à hurler sur des policiers qui ne font que leur travail, le vrai visage de la Merluche s’affiche enfin. Et ce visage, c’est celui de l’anti-France. Entre lui, un Attali qui voit notre pays comme un hôtel, toute la clique que d’ailleurs Jean-Luc a fréquenté des décennies durant, tous ces lambertistes, ces demi-Français aux multiples allégeances, ces cucks et autres post-féministes hystériques, il y a convergeance dans une même direction : la détestation de notre pays.
Et c’est pour cela qu’il veut le "créoliser" comme il l’assume d’ailleurs pleinement, c’est-à-dire... le dissoudre.

La place du gros cul de Jean-Luc est probablement davantage sur le divan d’un psychanalyste que posé sur un siège du Palais Bourbon. J’ajouterais que sa place serait tout aussi bien sur le siège d’un charter direction le Maroc pour y déposer l’Afrançais jean-cul. Il y vivra enfin en paix, entouré de petits bruns aux yeux noirs qu’il affectionne tant. Et nous, ça nous fera des vacances. Bon vol Jean-Luc smiley


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