
Tandis même que le Titanic atlantico-occidental sombre corps et bien, l’Oncle Sam veille à la soumission sans faille de ses vassaux : pas bien compliqué quand — faute de toute autre compétence notable — ses caniches €urocrates jouent la surenchère en ne demandant qu’à faire assaut de servilité.
Tout à battre les tambours d’une guerre que personne ne peut gagner, l’Empire préfère apparemment opter pour le suicide que reconnaître la perte patente de son hégémonie, et un Nouvel Ordre Mondial acculé semble maintenant prêt à jouer son dernier atout : dans la foulée du sacrifice de son pion ukrainien, l’embrasement du vieux continent et la ruine de ses populations.
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