Mais pourquoi cette désindustrialisation ? Qui, ou quoi : en est responsable ? 

Mais c’est exactement ce qui continue de nous poser des problèmes, et ce n’est pas l’immigration, mais la ploutocratie, les "ploutocrates" ; eux qui phagocytent l’économie pour encore plus de "profits financier" !

La fortune des 20 familles les plus riche au monde ont augmenté leur profits de + 62 % en 2020 selon la revue Forbes, pendant que le reste du monde était économiquement à la ramasse. 

Des fortunes de plusieurs dizaines milliards, et même de cent et bientôt deux cents milliards de dollars, et qui se sont bâties depuis les années 80 du siècle dernier ,ceci, en quelques décennies : 3 ou 4 décennie ! 

Tout a commencé avec Milton Friedman, Prix Nobel 1976 (année de fortes chaleurs...) de Sciences économiques, entre autre chose "inventeur du taux de chômage naturel", naturellement élevé bien sûr ! Depuis le chômage est devenu le le seul mode d’ajustement de cette économie affairiste et financiariste.  

Il est aussi le propagateur de l’idée que le seul but d’une entreprise c’est de faire du profit  ! Le but sociétal, ou "économique", au sens complexe et étymologique du terme de "règle d’ensemble", ce rôle économique de l’entreprise passe à la trappe des "profits" ploutocratiques mondialiste ! 

Que dire à la même époque du "Théorème de Schmidt" que l’on peut appeler la « grande imposture économique du 20 è siècle » ! Je veux parler de cette duperie véritable escroquerie économique du milieu des années 70, tout début de la mondialisation financière, et que l’on appelait à l’époque, en économie : le « théorème de Schmidt », Helmut de son prénom, social-démocrate, ancien Chancelier d’Allemagne de l’Ouest !

Ce « théorème économique sensé traduire une vérité économique de bon sens, disait, que « les profits d’aujourd’hui sont les investissements de demain et les emplois d’après-demain  » ; à vrai dire et au bout du compte : nous les attendons toujours ces emplois  !

En effet, car, si les efforts ont bien été faits et les profits bien réalisés, ceci, sur le dos des travailleurs, avec, en France, une perte de 10 points de répartition de la « Valeur Ajouté » pour les revenus du travail ; les investissements, quand ils ont eu lieu, ne se sont pas réalisés là où les efforts avaient été consentis, mais sous de cieux bien plus cléments pour le capital investis ! Ils ont été réalisés, capitalisme financier oblige, dans des pays émergeants à fort potentiel de croissance économique et forcément de croissance capitalistique, as encore les BRIC, mais vers les pays asiatiques émergeants !

C’est, là, en Europe, avec  le retour du capitalisme financier, avec le retour d’une économie de la seule rente financière, pourtant déjà tristement expérimentée, le tout début de la mondialisation financière de l’économie ; qu’après ce que l’on a appelées les « trente glorieuses »… nous vivons les « trente piteuses », voire même plus, car dans le genre capitalisme financier, l’argent pour l’argent, ou celui du capital qui se regarde le nombril : nous sommes assez bien partis ! 

Qu’ont à voir les immigrés, l’immigration, avec cette histoire économique qui monte les gens, les pays, les Nations : les uns contre les autres !