@quijote

"... force brute est culturellement mieux acceptée dans l’islam " ...
Tu te trompes lourdement. Tu devrais écouter la vidéo. Déjà parle de pays arabes et non islam qui n’a rien à voir la-dedans. 
La force brute, je l’ai vu dans toute sa splendeur en Syrie et en Libye avec les soutien des boss de la France.

Si jamais en France il y au pouvoir un dictateur, la force, tu l’accepteras quoi que tu dises. Par contre, je ne vois pas la force utilisée dans les pays arabes ... En Algérie, l’armée et la police sont venus vers le peuple durant la révolte du "Hirak" qui a duré bien plus que les Gilets Jaunes, en France, il ont usé de violence contre le G.J, pas en Algérie, alors pose toi encore des bonnes questions. Il y a peu de violences là-bas, sauf durant le terrorisme et on sait qui a tout fait pour que le terrorisme fasse des ravages en Algérie. Là-bas quand il y a des racailles, les flics viennent plutôt pour les sauver et les mettre en taule. Quand ils sortent, après plusieurs années (selon les faits), ils deviennent tout doux, polis etc ... Bref, là-bas, moins de faits divers (en proportion de la population) que la France, moins de crimes crapuleux (statistiquement en France, les maghrébins sont presque absents dans ce genre de crimes) ; certes sont champions dans les petits délits (spécifiquement en France) que je condamne encore plus que toi, je ne les excuse pas, mais c’est la loi sociale, s’il n’y avait pas eux, il y aurait des français de souche à leur place. J’habitais en province étant jeune, des jeunes voyous bien français faisaient bien plus de dégâts que les racailles d’aujourd’hui, c’était pareil que maintenant, par quartier, par ville, mais certes ils étaient moins. Ce que je constate, c’est qu’à l’époque la police était bien plus sévère avec les petits loubards (hyper violence, y compris au commissariat et je ne te dis pas en prison) que de nos jours contre les racailles. Maintenant les policiers sont devenus trop sympas, les racailles savent qu’ils ne risquent pas grand chose : si tu ne vois pas où est le problème, je n’y peux rien.