Ar zen 31 août 2021 12:45

@alchimie

J’ai bien regardé figurez vous ! 

http://recherche.irsan.fr/fr/documentation/index/voir/155-Analyse-25-mars-2021- :-L’épidémie-de-Covid%E2%80%9119-a-eu-un-impact-relativement-faible-sur-la-mortalité-en-France

On meure davantage à 80 ans qu’à 40. Etonnant non ? 

Je vais vous aider, vous en avez rudement besoin ! 

 » L’année 2020 n’a connu aucune surmortalité (voire une sous-mortalité) chez les personnes âgées de moins de 65 ans (qui représentent environ 80% de la population totale). Seuls les âges les plus avancés ont connu une surmortalité. La surmortalité maximale est atteinte par la classe d’âge 70-74 ans avec 3 109 décès en excès par rapport aux 55 757 attendus pour cette classe d’âge (soit 5,80 %). Au passage de l’épidémie de Covid-19, pour la population française dans son ensemble, les auteurs estiment à 3,66 %, l’excès par rapport à la mortalité attendue en 2020. 3,66 % de surmortalité représente environ 23 mille morts en excès sur les 629,5 mille attendus normalement en 2020. Ces chiffres doivent être mis en perspective avec les 400 mille morts annoncés par le Président de la République Française en octobre 2020 pour justifier la mise en place du deuxième confinement. L’année 2019 avait montré en revanche, un défaut de mortalité maximum de -2,92 % directement lié à l’effet de moisson des épisodes grippaux de 2015 et 2017. La surmortalité observée en 2020 au passage de l’épidémie de Covid-19 serait en partie, un rattrapage du défaut de mortalité de 2019. Utiliser la mortalité de 2019 en tant qu’élément de comparaison pour estimer l’impact de l’épidémie en 2020 comme cela est pratiqué couramment, est donc une simplification doublement biaisée. L’épidémie qui touché la France en 2020, montre une surmortalité nulle pour les moins de 65 ans (soit 80 % de la population) et très faible pour les plus de 65 ans (3,34 % d’excès pour cette classe d’âge). Ce résultat est très loin des hécatombes annoncées et pour laquelle des mesures sanitaires disproportionnées ont été mises en œuvre.

Nous sommes victimes de mesures non appropriées, nous sommes victimes, collectivement, d’une atteinte grave à nos libertés individuelles sous un prétexte sanitaire qui n’est qu’une supercherie. Cette affaire n’est « que » politique et économique ! 


Quant à ce qu’envigeait l’INED en 2007 je vous laisse y réfléchir, posément, c’est mieux ! Mais peut être est-ce trop difficile à comprendre pour vous ?


"Les pays du baby-boom se distinguent dans ce domaine des autres pays d’Europe, comme l’illustre l’évolution observée et projetée du nombre de décès en France et en Italie ( figure 4). Dans ces deux pays, le nombre de décès va augmenter d’environ 40% d’ici 2050, mais en France, cette augmentation fait suite à une stabilité remarquable, alors qu’en Italie, elle prolonge une tendance à l’augmentation déjà en cours.

Au total, dans tous les pays occidentaux de l’Union, et à un moindre degré parmi les nouveaux accédants, les prochaines décennies vont être marquées par une augmentation très forte du nombre de décès( figure 5). Celle-ci atteindra en moyenne 40% dans le premier groupe de pays, moins de 20 % dans le second."

https://www.ined.fr/fichier/s_rubrique/19099/431.fr.pdf






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