Eric_F 24 juillet 2021 12:00

@JL
L’ARNmessager est le mécanisme général de génération des protéines, alors si le phénomène de rétrotranscription était courant, chaque cellule ne cesserait d’avoir son patrimoine génétique modifié (cellule par cellule, dont le génome divergerait).
Les virus eux-mêmes utilisent le mécanisme ARNm, en cas d’infection on a de l’ARNm du virus dans nos cellules, et cela de manière plus durable que celui injecté "one shot" par le vaccin.
En des millions d’années d’évolution du génome humain, celles liées aux rétrotranscriptions virales sont en faible proportion.

Lorsque les "nouveaux" vaccins sont apparus, il était normal -et souhaitable de se poser toutes les questions sur les mécanismes mis en oeuvre et leurs risques potentiels. Mais depuis des mois ,les études et débats sur le sujet ont progressé, la plupart des experts même ceux réticents au départ, ont admis l’efficacité et la sureté de ces vaccins -fut-ce avec des réserves, comme Raoult-. Reste quelques minoritaires soit crispés sur leurs positions initiales craignant de perdre face, soit ralliés à des courants réfractaires par principe ...ou parce qu’ils ont été [injustement] mis sur la touche des institutions, qui portent il faut le dire une responsabilité du fait de leur absence de transparence.


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