@Hijack ...
En combat, si vous envisagez la possibilité de l’échec vous
avez déjà perdu !
Soljenitsyne, entre autres, en a parlé dans le 1er
volume de l’Archipel du Goulag, au
sujet des rencontres avec l’appareil de répression. Humainement, le prisonnier
n’avait aucune chance de s’en sortir vivant. La seule issue fut pour lui de
tout abandonner, de ne plus avoir peur de rien. Quand on n’a plus rien à perdre,
même sa vie, le système ne peut plus rien contre vous !