La musique de ma jeunesse, de la musique de vieux.
Deux anecdoctes :
-Chez moi il y avait deux cinémas, un des deux plus habitué aux péplums à programmer Woodstock.
Le père Brussin (la soixantaine) c’est retrouvé avec des martiens pour lui à l’écran et dans la salle.
Lui qui râlait quand ça fumait à été servit avec l’odeur du chitt.
Le cinéma faisait 3 séances par semaine, Woodstock a tourné sur une dizaine de séances en une semaine.
Le père Brussin n’y comprenait rien mais à fait son beurre avec ces jeunes incompréhensibles.
-Où j’habitais on recevait radio Caroline donc on avait une culture musicale différente que 100-200km plus au sud. Des petits cousins plus habitués à la variété française trouvaient bizarre cette musique en anglais et prédisait un piètre avenir à ce style de musique.