@yoananda2
Cela dit, on
peut aller loin dans le relativisme : un assassin tente d’égorger un enfant
de 5 ans. Est-ce que le droit de l’assassin d’assouvir ses pulsions meurtrières
est équivalent au droit de l’enfant à continuer de vivre ? Pour moi qui ne
reconnais que l’échelon individuel et qui suis bourré de biais la question est
vite répondue selon la formule désormais consacrée mais j’imagine que sur la lune, ça se discute âprement. (Sarcasme,
tu en as fait un j’étais obligé de te rendre la pareille )