@sls0 L’immunité de groupe est un concept théorique non prouvé.

Les épidémies commencent et s’arrêtent d’elles-mêmes sans immunité collective. La première vague de COVID-19 s’est ainsi arrêtée d’elle-même avant l’été 2020, avant de resurgir manifestement via un élevage de vison et un abattoir de Mayenne.

Les vaccins, s’ils peuvent permettre de protéger les personnes les plus à risques, ne sont nullement efficaces pour faire face à une pandémie globalisée causée par des virus mutagènes. 

La prochaine épidémie partira sans doute du bruit de fond viral non contrôlable par les vaccins. Et les vaccins, de part leur approche fragmentaire, sont potentiellement promoteurs de mutagénicité chez les virus, comparativement à la réponse plus globale du système immunitaire en réponse à une véritable infection virale.

L’immunité acquise par le vaccin n’est sans doute pas la même que l’immunité naturelle et peut donc contribuer aux futurs risques épidémiques dans la population.