Bercoff se plante complètement. Ce temps qui est mort c’est celui de ceux qui pouvaient arnaquer le monde impunément, de ceux qui croyaient que leur pognon allait les sauver de la mort et de la souffrance : le rêve des années 50 et de toujours vaincre la mort, mais le virus est là infernal avec la mort au bout des pointes, le misérable est là infernal avec un couteau et l’envie de voler et de faire subir sa souffrance et celui à qui on a imposé un dictateur de service pour profiter de ses richesses enfouies dans le sol, lui il a la vengeance au bout de son coran ou de son poing.

Les Romains ont construits des murs, ils se sont écroulés. Dans l’histoire aucuns n’a résisté et est resté debout. L’histoire n’est qu’un perpétuel recommencement.

Tapie ne chante plus mais les oiseaux, eux, continuent.