Tchakpoum 22 mars 2021 23:57

@bubu12

c’est une histoire de règlement c’est une histoire de méthode et c’est logique

Très, bien alors parlons de la méthode de Prescrire, qui a abouti à la conclusion : "Beaucoup d’essais peu de résultats, pas de preuves d’efficacité clinique", et celle des Hôpitaux Universitaires de Genève, qui se contente de recopier des résultats choisis et d’énumérer les faiblesses ou biais de chaque étude, à celle de Tess Lauwrie, puisque, si je puis me permettre, c’est le sujet de mon article.
https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_8cb655bd21b1448ba6cf1f4c59f0d73d. pdf

10 RCT (randomized), 7 OCT (observationnal) = 17 études.

2000 patients : 2,5% morts avec l’ivermectine, 9,1% morts sans : 68% de réduction. Evidence certaine : entre faible et modéré. 

Pour les RCT mesurables répertoriées, (1107 participants), ça monte à 83% avec une évidence "modérée"

Pour les malades légers à modérés, la réduction est de 34%, avec une évidence modérée.

Pour les malades sévères la réduction est de 95% avec une évidence faible.

En prophylaxie, réduction de 88%, avec une évidence modérée.

Méthode : EBM + GRADE + Cochrane.

Quant-à la mesure de toxicité et des effets secondaires, elle n’est plus à faire, on sait les risques dérisoires d’un médoc qui date des années 1970.

Le doc de Lawrie est un preprint ? Oui. Les articles de Prescrire et HUG n’ont pas fait non plus l’objet de relecture par les pairs selon la méthodo. Donc égalité sur ce registre. 


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