Tchakpoum 22 mars 2021 00:04

@bubu12

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Vous :
Ben si il l’a vu justement la critique est de dire qu’il n’y a pas de bras placebo, vous le faite exprès non ?  et c’est loin d’être le seul problème de l’étude, et quand une étude est mal faite on ne prend pas les résultats pour argent comptant, mais apparemment ca vous passe au dessus.

Oui, j’ai même remarqué que l’étude HUG a un titre : Place de l’ivermectine dans la prise en charge des patients atteints d’une infection à SARS-CoV-2
HUG renseigne que l’essai clinique Egyptien Elgazzar n’a pas de bras placebo. Or, le bras ivermectine a des résultats significativement plus élevé à toutes les étapes de traitement du virus que celui HCQ, ainsi qu’en prophylaxie. Donc le bras HCQ peut servir au pire d’étalon placebo, mais démontre de toute manière que l’ivermectine agit. Même avec des biais, des résultats partout meilleurs avec l’ivermectine qu’avec l’HCQ, c’est une constante. Ce que refuse d’acter HUG.
Vous comprenez ? Ca va mieux ?
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Sur l’empoisonnement à l’HCQ
Vous : Mais c’est une dose de charge !!! rien à voir avec des doses létales et l’IHU le sait très bien ! D’ailleurs si c’était létale les résultats de l’essai serait légèrement diffèrent vous croyez pas ?
Je vous met les extraits en français, je suis sympa :
Les doses n’ont pas été spécifiées sur la liste de l’OMS des médicaments à tester, et elles n’ont pas non plus été spécifiées, de manière surprenante,
Donc l’essai Solidarity (Royaume Uni) n’a pas communiqué à l’essai Recovery (OMS) les doses prescrites aux sujets dans le bras HCQ. Ni Préconisation de Recovery, ni information de Solidarity : vous croyez que c’est possible des études comme ça ? Ce ne sont pas des biais, mais du grand n’importe quoi !

Selon Browning et Goldfrank , la pharmacocinétique et la puissance de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine sont presque identiques, tandis que la dose chronique maximale utilisée de chloroquine est de 3,5 mg / kg. 
L’essai Recovery a utilisé  1,86 gramme d’ hydroxychloroquine base (équivalent à 2400 mg d’hydroxychloroquine) au cours des 24 premières heures pour le traitement de patients déjà très malades et hospitalisés avec Covid-19. Les essais de solidarité canadienne et norvégienne ont utilisé 2 000 mg de HCQ, ou 1,55 gramme de HCQ base au cours des 24 premières heures.
Chaque essai a donné aux patients une dose cumulative au cours des 24 premières heures qui, administrée en une seule dose, s’est avérée létale. (La demi-vie du médicament est d’environ un mois, le montant cumulé est donc important.) 

Au Royaume Uni, au Canada et en Norvège ont donc été prescrites des doses létales.

Bubu : En tout cas si le sujet est toujours de dire que l’hydroxychloroquine fonctionne, c’est que vous refusez l’évidence, il y a des RCT à tous les stades de la maladie, il y en a même un qui à testé le fameux protocole marseillais, ca ne fonctionne jamais !
Non ! le sujet est de dire que des médecins ont empoisonné de patients durant des essais cliniques. Ce n’est pas pareil. Mais peut-être que vous vous en foutez. Ce qui est éventuellement "pareil" est que c’est justement de HCQ qui a été prescrit à dose létale, raison pour laquelle l’IHU a été vénère.
Pour l’HCQ, l’étude égyptienne, - puisqu’on vient d’en parler - , démontre de l’ivermectine est plus efficace. Et j’ai expliqué dans mon article que c’est un conflit gelé, les batailles d’essais cliniques n’y feront plus rien (en tout cas en France).

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