Tchakpoum 21 mars 2021 20:52

@bubu12

Vous :

le passage le plus hallucinant dans l’article de Mr Maudrux c’est celui ci : 

Il y a ensuite une technique de décrédibilisation qui fait fureur, toujours pour manipuler : critiquer la forme, pour faire oublier le principal : le résultat. Ainsi le HUG, Hôpital Universitaire de Genève, a remis à jour sa note sur l’Ivermectine, très documentée. Prenons une des études les plus dense, celle de Elgazzar en Egypte, 600 patients. Ils ont vu grand pour comparer Ivermectine, Hydroxychloroquine, placebo. Pas facile de bien faire les choses pour atteindre la perfection méthodologique avec 600 patients tous différents et 6 cohortes.

Critiques : « Résultats en pré-print, non relus. Très faible niveau de preuves en raison du risque élevé de biais ( randomisation, mesure de l’outcome, absence d’aveugle, de contrôle standard). Séries comprenant Azithromycine, paracétamol, Vit C, Zinc, Lactoferrine, anticoagulants, stéroïdes chez les patients sévères,… (eh oui, on traite !). Pas d’infos sur la manière dont l’endpoint multiple a été analysé. Randomisation non efficace ( !!!). Le groupe contrôle comprend HCQ sans placebo. Présentation générale peu standard. Changement de prise en charge si pas d’amélioration après 7 jours (eh oui, on essaye de soigner efficacement !). Très faible niveau de preuves. » C’est tout pour les critiques, rien, rien, rien sur les résultats dans cette note !


Eh bien, oui et c’est quoi les résultats ? il suffit continuer à lire ce qu’écrit Maudrux :

 Maudrux (suite) : Les résultats ? Pour les cas légers, 0/100 mort sous IVER contre 2 sous HCQ, et pour les cas graves, 2/100 sous IVR et 20/100 sous HCQ, soit mortalité divisée par 10. En prophylaxie, 2/100 contaminés dans le groupe IVER, 10/100 dans le groupe sans IVER, divisé par 5.

On peut toujours critiquer la forme, mais « les faiblesses d’une étude ne sont pas les faiblesses du traitement «  écrivait un lecteur. Ce n’est pas parce qu’elle n’est pas « publiée « que les résultats sont mauvais ! Quand ce n’est pas randomisé, on dit qu’il faut randomiser, et quand c’est randomisé, on dit que c’est mal randomisé quand le résultat ne plait pas ! « Le groupe contrôle comprend HCQ, pas de bras placebo », eh bien oui, le critique n’a même pas vu que c’était une étude IVER versus HCQ, pour comparer les deux, et non une étude IVER versus placebo ! Incapable de voir ça, incapable d’interpréter si non publié, incapable de lire si « présentation peu standard »,… bref, critique incompétent, qui d’ailleurs ne semble pas avoir vu l’efficacité prouvée et indiscutable de l’Ivermectine. La dérive actuelle, on regarde la rédaction, pas les malades.

Que voulez-vous que je vous que je dise de plus ?


Le remdesivir, médicament expérimental, a obtenu l’ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation), avant de le retirer car il faisait trop de dégâts.

Le bamlanivimab, pour lequel la Société française de Pharmacologie et Thérapeutique a alerté que les résultats des essais ne présentent pas de bénéfice clinique, d’autre part et surtout, est susceptible de créer de nouveaux variants, a obtenu l’ATU. Et la famille gérante de la société Lilly, qui promeut le bamlanivimab fait partie des cabinets de Matignon et de l’Elysée. Mais bah...

Par contre l’ivermectine, ancien, aux effets secondaires, aux résultats spectaculaires constatés dans des études déjà présentés parmi tous les commentaires que vous ne lisez pas, l’ATU, c’est "cause toujours".


et l’HCQ ? Vulpes vulpes vous communique ,pourtant, oh combien...

Alors lisez ce qu’il vous a communiqué : doses utilisées

C’est pour ça que l’IHU hésite à porter plainte, je ne sais pas où ils en sont. Motif ? Le meurtre par empoisonnement. Comment voudriez vous qualifier autrement des médecins qui prescrivent des doses léthales de médicaments ?


Et, oui, Vulpes vulpes vous communique, mais trop fort pour vous sans doute.

Vous cherchez à être un rigoureux de la procédure, tout doit être strictement conformes aux règles édictées, sinon ça ne passe pas. Vous devriez regarder le film I comme Icare, ou l’expérience de Milgram. Vraiment, vous êtes sûr vous êtes psychologue ? C’est le problème du conducteur de train qui embarquait les juifs dans les camps. Il n’a absolument rien à se reprocher, il est propre : il a respecté toutes les règles. Le respect des procédures n’a rien à voir avec l’éthique (c’est à dire la simple morale, ce mot me va bien). Vous vous croyez scientifiste et vous ne voyez pas que vous devenez aveugle.

Maudrux veut soigner, il est médecin, c’est son boulot et son dada : guérir. Lui, c’est sa morale qui le guide, maintenant contre le conseil de l’ordre des médecins qui est devenu comme le conducteur de trains.


Je vais d’ailleurs, si j’ai le temps, sortir un article sur l’expérimentation vaccinale en direct et à grande échelle sur des personnes saines et le problème que ça pose avec le code de Nuremberg.


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